Le CSA reprochait à Radio Italia, d’une part, de ne pas avoir respecté ses engagements en matière de production propre (75.13 % au lieu de 100 %), et, d’autre part, de ne pas avoir respecté les conditions de sa dérogation à l’usage de la langue française (seulement 43.83 % de programmes en français, plutôt que 50 %).
"Face à l’argumentation très limitée présentée par l’éditeur – qui ne s’est d’ailleurs pas présenté à son audition – et étant donné la répétition année après année, sans aucun progrès visible, du second grief, le Collège n’a pu que constater qu’il avait perdu toute confiance dans la capacité de l’éditeur à se mettre un jour en conformité avec ses obligations".
Le CSA a, dès lors, décidé d’infliger à l’éditeur la sanction la plus lourde, à savoir le retrait de son autorisation.La décision ayant été prise par défaut, elle est susceptible d’opposition dans les quinze jours de sa notification.
"Face à l’argumentation très limitée présentée par l’éditeur – qui ne s’est d’ailleurs pas présenté à son audition – et étant donné la répétition année après année, sans aucun progrès visible, du second grief, le Collège n’a pu que constater qu’il avait perdu toute confiance dans la capacité de l’éditeur à se mettre un jour en conformité avec ses obligations".
Le CSA a, dès lors, décidé d’infliger à l’éditeur la sanction la plus lourde, à savoir le retrait de son autorisation.La décision ayant été prise par défaut, elle est susceptible d’opposition dans les quinze jours de sa notification.