À la suite de l’examen des taux mensuels de diffusion de chansons d’expression française, de nouvelles productions et de nouveaux talents, relevés sur les antennes des radios au cours des mois de janvier et février, le Conseil a pris plusieurs décisions. Il a notamment mis en garde Ouï FM, Contact, Hot Radio, Littoral FM, Nice Radio et Toulouse FM, "ces radios se situant très nettement en dessous de leurs engagements conventionnels".
Le CSA est également intervenu auprès de Métropolys, "qui se situe en dessous de ses engagements conventionnels".
Le CSA est également intervenu auprès de Métropolys, "qui se situe en dessous de ses engagements conventionnels".
Haro sur le porno
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Le Conseil a aussi été saisi de plaintes au sujet de la diffusion, le 15 janvier dernier sur Skyrock, de l’émission Radio Libre, "au cours de laquelle les animateurs ont accueilli, à partir de 21h24, deux actrices de films pornographiques".
Le CSA considère que les propos échangés ainsi que les sujets abordés, "tant par leur crudité que par leur caractère détaillé, constituent des manquements" à l’article 15 de la loi du 30 septembre 1986, qui dispose que le Conseil veille à la protection de l’enfance, et à la délibération du 10 février 2004, qui demande aux radios de ne pas diffuser, entre 6 heures et 22h30, de programmes susceptibles d’heurter la sensibilité des auditeurs de moins de 16 ans. Il a donc mis en demeure la radio de respecter ces dispositions.
Le CSA considère que les propos échangés ainsi que les sujets abordés, "tant par leur crudité que par leur caractère détaillé, constituent des manquements" à l’article 15 de la loi du 30 septembre 1986, qui dispose que le Conseil veille à la protection de l’enfance, et à la délibération du 10 février 2004, qui demande aux radios de ne pas diffuser, entre 6 heures et 22h30, de programmes susceptibles d’heurter la sensibilité des auditeurs de moins de 16 ans. Il a donc mis en demeure la radio de respecter ces dispositions.