À l’issue de l'appel du 27 février dernier, 9 opérateurs avait été autorisés sur 22 fréquences. Aujourd’hui, la quasi-totalité des autorisations sont caduques ou abrogées. Seul un opérateur continue à diffuser son programme à Nîmes et à Nice.
Dans la perspective du lancement d’un nouvel appel à candidatures en ondes moyennes, le Conseil supérieur de l'audiovisuel a donc décidé d’organiser une consultation publique préalable, limitée aux zones de Paris, Saint-Gouéno et Bayonne. Cette consultation s’adresse aux éditeurs de services de radio titulaires d’une autorisation d’émettre, aux personnes morales porteuses d’un projet radio, aux régies publicitaires ainsi qu’à toute personne morale (association, entreprise, collectivité territoriale) exerçant une activité en rapport direct avec le secteur de la radio et intéressée pour émettre en AM.
Dans la perspective du lancement d’un nouvel appel à candidatures en ondes moyennes, le Conseil supérieur de l'audiovisuel a donc décidé d’organiser une consultation publique préalable, limitée aux zones de Paris, Saint-Gouéno et Bayonne. Cette consultation s’adresse aux éditeurs de services de radio titulaires d’une autorisation d’émettre, aux personnes morales porteuses d’un projet radio, aux régies publicitaires ainsi qu’à toute personne morale (association, entreprise, collectivité territoriale) exerçant une activité en rapport direct avec le secteur de la radio et intéressée pour émettre en AM.
Des réponses recueillies avant le 30 avril
Avant de lancer l’appel à candidatures en ondes moyennes, le Conseil supérieur de l’audiovisuel souhaite recueillir les commentaires des acteurs intéressés sur plusieurs points : convient-il selon vous, de limiter l’appel à candidatures à certaines catégories et dans quelle(s) hypothèse(s) ? L’utilisation des ondes moyennes (AM) pour la diffusion de services de radio vous paraît-elle pertinente ? Si oui, pour quelle(s) raison(s) ? Quel taux d’audience pensez-vous pouvoir obtenir d’une diffusion en ondes moyennes en mode analogique ou numérique ? Autant d'interrogations dont les réponses des potentiels candidats devront être envoyées avant le 30 avril prochain.